samedi 25 juin 2011

Léa Passion Schizophrénie

Bon alors... la Léa. C'est une psycho.
Si si. Elle est perchée.
Regardez bien.
Un coup elle est brune, puis blonde, puis châtain, a des cheveux longs, d'autres fois les cheveux courts, et même : elle change carrément de visage ! o.O
Léa, elle a un sacré souci de dysmorphophobie si vous voulez mon avis.

Changer de tête comme de chemise : Léa Passion Chirurgie Esthétique

Ensuite... elle a quel âge, cette Léa, hein ? 25 ans, grand maxi. Et à 25 ans à peine, elle a déjà été tour à tour :
- danseuse étoile,
- cuisinière,
- maitresse d'école,
- médecin,
- organisatrice de soirées et de mariages,
- vétérinaire,
- chef 3 étoiles,
- détective dans un lycée,
- esthéticienne,
- gymnaste,
- décoratrice d'intérieur,
- styliste de mode,
- patineuse artistique,
- baby-sitter,
- star de cinéma,
- gérante de boutique,
- chanteuse dans un groupe de musique,
- artiste peintre,
- journaliste,
- puéricultrice,
et je vous en passe...

Alors cette Léa ? Simple touche-à-tout d'humeur changeante, ou plus instable que le réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl ?

La vérité, l'unique vérité, la seule vérité vraie que personne n'ose révéler, c'est que : Léa, elle est complètement schizo.
Oui môôosieur, oui madame.
Au mieux, c'est une personne hautement instable qui "se cherche" sans jamais (mais alors jamais) se trouver.
Au pire, elle est vraiment atteinte d'un trouble de la personnalité multiple.

Et constater qu'une jeune femme manifestement psychotique est l'idole des gamins (et des éditeurs de jeux vidéo), c'est flippant.
Si.


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"Ne pouvant se corriger de sa folie, il tentait de lui donner l'apparence de la raison."
Alfred de Musset, extrait de Les deux maîtresses

mardi 21 juin 2011

La liberté d'être con ? (la limite libertaire)

Alors là, faut que je vous en parle. Non mais parce que c'est... oh !, pfff, heu..., rôôôoooh non mais c'est pô possible. Bon, je vous raconte ^^

V'la-t-y pas que j'étais sur un forum, et on papotait sur les émissions télé de m... et bien abrutissantes (on a des preuves, c'est pas de la diffamation - suffit d'allumer votre télé ^^), genre Une Famille en Or, Pouch' le Bouton (rien que le nom de l'émission, c'est tout un programme...), et autres joyeusetés.
Oui hein, on est bien loin de Questions pour un Champion là ^^'
Bref on cassait du sucre sur le dos de "ce genre" de télé, destinée à "vendre du temps de cerveau disponible" et non à faire rêver (au sens être émerveillé, susciter l'imaginaire) ou à instruire, encore moins à faire réfléchir.

C'est alors qu'un message a été posté par un internaute, visiblement indigné qu'on n'apprécie pas ces émissions et qu'on ose critiquer les larves décérébrées qui leur servent de candidats, lesquels candidats sont le plus souvent - et ça reste un mystère - très heureux de pouvoir étaler ainsi leur ignorance à la télé, telle un fier étendard.

Je ne résiste pas au plaisir de vous retranscrire ce message, parce que hein, c'est du lourd comme on dit :
"Ouais bon ne soit pas indigné pour si peu. Alors effectivement, ce type d'émission ne sont pas des puits de culture, et d'ailleurs n'en ont pas la prétention.
Ce sont des programmes familiaux qui sont juste là pour apporter du bonheur dans les foyers à l'heure des repas, quand la famille est réunie le soir, après une journée de travail où à l'école. Ce n'est pas à cet horaire là que va passer un bouillon de culture, du moins sur ces chaines là. C'est vrai que le niveau des candidats et l'humour moisi des présentateurs sont au raz des pâquerettes, mais je ne vois pas où est le mal.
On s'en fout du bas niveau culturel des candidats, s'ils sont contents de passer à la télé.
Si les mépriser permet à certains de se sentir intellectuellement valorisés parce que eux ne sont "pas du même monde", "n'ont pas les mêmes valeurs" pour reprendre le célèbre slogan de pub, tant mieux pour eux mais c'est pauvre de le penser ( je ne parle pas de toi (...), mais de manière générale).
Alors bien sûr, on pourrait se dire "mais jadis, le moment convivial en fin de journée était le souper du soir, à table, après la prière, puis ensuite réunion devant la cheminée pour se raconter des histoires et feuilleter les albums photos", mais c'est bon quoi, la sociologie des familles et les moeurs ont évolué, sauf chez les vieilles familles catho psycho rigides de france."

"On s'en fout du bas niveau culturel des candidats, s'ils sont contents de passer à la télé."
Un must, hein : c'est pas grave d'être con, du moment qu'on est con-tent...
Ben heu, non, moi je m'en fous pas. Ils votent ces gens là !, ils élèvent des gosses, des chiens même parfois. Pauv' toutous.

Et que dire de la conclusion :
"Si les mépriser permet à certains de se sentir intellectuellement valorisés parce que eux ne sont "pas du même monde" (...) tant mieux pour eux mais c'est pauvre de le penser (...) c'est bon quoi, la sociologie des familles et les moeurs ont évolué, sauf chez les vieilles familles catho psycho rigides de france."
Autrement dit, si on tacle les émissions "populaires" (quelle honte d'utiliser un si digne mot pour désigner cette infâme soupe télévisuelle), si on espère pour l'humanité quelque chose de mieux que ça, si on aspire à ce que ses contemporains utilisent les neurones que Dame Nature a eu la si grande gentillesse de leur offrir, c'est qu'on est réac'.
(et catho, bigre ! o.O)
Clap clap. 


Non mais j'vous jure... y'a vraiment des gens pour défendre la liberté d'être inculte et content de l'être ?!
Aaah !, ayé j'me rappelle : c'est pour ça que j'ai arrêté d'être libertaire en fait ^^'

Parce qu’entre la liberté d’être inculte et de demeurer ignorant, la liberté de porter le niqab, la liberté de travailler plus, la liberté du FN de se présenter aux élections, la liberté de ne pas faire grève, j’en passe et des meilleures..., c'est un festival "libertaire" permanent chez vous, les zhumains !
Oué.
Mais franchement : la liberté de ne pas l'être, ou la défense des "esclaves volontaires" et contents de l'être, ça sera sans moi.


On dit que le savoir est une arme : que les gouvernements et les marchés financiers se rassurent, voilà les citoyens bien désarmés.


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"Il en est de la culture à la télévision comme des habitants des villes : rejetée à la périphérie."
Bernard Pivot, extrait de Remontrance à la ménagère de moins de cinquante ans

"La culture n'est pas un luxe, c'est une nécessité."
Gao Xingjian, extrait de La Montagne de l'âme

"Et puis quoi, qu'importe la culture ? Quand il a écrit Hamlet, Molière avait-il lu Rostand ? Non."
Pierre Desproges, extrait de Vivons heureux en attendant la mort

lundi 20 juin 2011

Pénurie de logements sociaux : enfin la solution !

Depuis des dizaines d'années maintenant, le problème du manque de logements grandit et ne trouve aucune solution. Qu'à cela ne tienne, le gouvernement vient enfin de se lancer dans un grand programme de financement et de construction de logements sociaux :


Et voilà !!
...
...
Bah quoi ?
Oh hé, on vous avait prévenu : voilà ce que ça donne quand la Droite fait du social.


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"Qu'importe chemin douloureux à qui trouve logis accueillant !"
Benoît Desforêts, extrait d' Un sillon dans la forêt

"Quand j'étais petit à la maison, le plus dur c'était la fin du mois... Surtout les trente derniers jours !"
Coluche, extrait du sketch L'Etudiant - 1980

lundi 13 juin 2011

Henri Guaino : la blagounette du jour

Une fois n'est pas coutume, la blague du jour nous vient de "la France d'en haut", et plus précisément d'Henri Guaino :


"Les démocraties ne tuent pas".
ha ha ^^
ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ^^'
haaaaaa...
...
...
(une minute de silence pour les victimes des démocraties)


Elle a gagné sa place dans le Bêtisier 2011 celle-là, tiens.


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"Les démocraties ne peuvent pas plus se passer d'être hypocrites que les dictatures d'être cyniques."
Georges Bernanos, extrait de Nous autres Français

dimanche 12 juin 2011

Le féminisme, un truc de timbrées

Oyé Oyé ! La Poste se lance dans le féminisme avec de splendides timbres !

Timbres sur lesquels on reconnaitra "la patte" ;) de Miss.Tic, célèbre "tagueuse-pocheuse" (elle fait des tags avec des pochoirs, oui voilà. Les puristes diront que ce ne sont donc pas des tags, mais pour les policiers et les procès-verbaux, tag ou pochoir c'est pareil ^^').

Voici les magnifiques timbres en question, qui ne manqueront pas de questionner les timbré-e-s du féminisme.  :P






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"Je n'ai jamais réussi à définir le féminisme. Tout ce que je sais, c'est que les gens me traitent de féministe chaque fois que mon comportement ne permet plus de me confondre avec un paillasson."
Rebecca West